L’héroïne de cette histoire était photographe et opératrice vidéo. Elle avait un bon travail et bien payé. Mais un jour, elle a voulu créer son propre refuge pour chiens errants. Tous les amis de la jeune fille ont été très surpris par cette décision. Et pas seulement parce que le désir de changer d’emploi prestigieux pour s’occuper d’animaux malades et affamés semblait, pour le moins, étrange. Le fait est qu’avant la fille avait toujours très peur des chiens. Comme elle l’a elle-même expliqué, elle a été élevée par sa grand-mère et dès sa petite enfance, elle a été inspirée par le fait que les chiens sont porteurs d’infections et de la rage.
Une fois, après une journée de travail particulièrement dure, Daria et ses amis sont allés dans la forêt pour faire un barbecue. Là, tout à coup, le chien de quelqu’un a couru vers elle et a enfoncé son museau dans sa jambe.
Depuis lors, la peur de Pushkareva des quadrupèdes est passée. Et il y avait un grand désir d’aider constamment les animaux qui en avaient besoin.
Pushkareva a d’abord aidé des refuges individuels avec de l’argent. Puis elle a commencé à prendre des photos de chiens dans les mêmes refuges et les a postées sur Internet. C’est ainsi que les animaux et leurs futurs propriétaires se sont rencontrés sur le Web.
Dasha elle-même avait déjà sept chiens à cette époque. Puis la crise est arrivée et Pushkareva n’avait presque pas de travail.
Elle et son mari ont décidé de déménager dans une maison de campagne. De plus, il était très problématique de vivre dans un appartement en ville avec une telle armée de chiens.
Bientôt, la famille des chiens a commencé à s’agrandir. Par ailleurs. Enfin, le nombre d’animaux de compagnie est passé à 100. Parmi eux se trouvaient des chiens sourds et malvoyants, et ceux qui avaient des problèmes avec le système musculo-squelettique.
Dasha elle-même s’est trouvée un travail à distance. Désormais, il a la possibilité d’être proche de ses animaux de compagnie. Et, bien sûr, il est difficile d’imaginer combien d’argent est nécessaire pour nourrir un si grand nombre de chiens. Mais le propriétaire ne se décourage pas. Pushkareva elle-même, en plaisantant, s’appelle la Reine-Psynomat.
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